Faits divers en Normandie - Société2024-03-19T14:09:14+01:00urn:md5:3c9685b927dd887310583ed552a98940DotclearCloîtrée avec une vingtaine d'animaux depuis plusieurs annéesurn:md5:fbaf9c9c2083d4fa593fbdcc3248f5a52007-10-11T19:35:00+02:002007-10-11T19:35:00+02:00Didier BidauxSociété <p>Trois cochons et une vingtaine d'animaux qui vivaient depuis plusieurs années cloîtrés avec une quinquagénaire dans une maison du centre-ville de <a href="http://fd.paysdecaux.com?post/tag/Rouen">Rouen</a> (<a href="http://fd.paysdecaux.com?post/tag/Seine-Maritime">Seine-Maritime</a>) ont été découverts mardi, et pris en charge par la Société normande de protection des animaux, a-t-on appris mercredi auprès de cette dernière.</p>
<p>La SNPA, missionnée par la mairie de Rouen qui avait pris un arrêté d'intervention, avait été alertée par le voisinage qu'une odeur pestilentielle se dégageait du pavillon.</p>
<p>A leur arrivée, les agents de la SNPA ont découvert trois cochons, deux chiens, un bouc, une biquette, deux chiens, plusieurs chats, des lapins et chinchillas qui vivaient enfermés dans la maison "depuis au moins dix ans sans jamais sortir", a confirmé le voisinage. AP</p>http://fd.paysdecaux.com?post/2007/10/11/Cloitree-avec-une-vingtaine-danimaux-depuis-plusieurs-annees#comment-formhttp://fd.paysdecaux.com?feed/atom/comments/1598Elle poignarde son amiurn:md5:aea66e091139fc911fb1918159b7278b2007-10-04T23:48:00+02:002007-10-04T23:48:00+02:00Didier BidauxSociété <h5>Amélie Papillon a tué Jean-Charles Dupont, chez lui à Offranville, dans des circonstances encore floues.</h5>
<p>Amélie P, 22 ans, sans domicile fixe, est accusée d'avoir tué son ami Jean-Charles Dupont, chez lui.</p>
<p>Les faits se sont déroulés dans la nuit de jeudi à vendredi à <a href="http://fd.paysdecaux.com?post/tag/Offranville">Offranville</a>, près de <a href="http://fd.paysdecaux.com?post/tag/Dieppe">Dieppe</a>. Il n'est pas encore minuit quand les secours sont alertés. Un jeune homme de 21 ans est grièvement blessé. Il vient d'être frappé de plusieurs coups de couteau.</p>
<p>Une histoire de CD à la base de la dispute ?</p>
<p>Lorsque les gendarmes arrivent sur place, Jean-Charles Dupont est déjà mort. Sa mère et son frère se trouvent encore dans la maison. La meurtrière présumée aussi. Elle, c'est Amélie P, 22 ans, une amie de la victime qui squatte le garage familial. La jeune femme vit dans sa voiture, une Peugeot 106 accidentée, depuis plusieurs semaines.</p>
<p>Amélie P est interpellée et entendue quelques minutes après. Elle était restée de son plein gré dans la maison des Dupont.</p>
<p>La cellule d'investigations criminelles de Rouen a procédé aux premières constatations. De nombreuses personnes ont été entendues à la gendarmerie.</p>
<p>Une autopsie du corps de Jean-Charles Dupont sera pratiquée en début de semaine.</p>http://fd.paysdecaux.com?post/2007/10/04/Elle-poignarde-son-ami#comment-formhttp://fd.paysdecaux.com?feed/atom/comments/1597Un garçon de 15 ans en tue un autre de 18 ansurn:md5:93e1974d6b7f6afe81500befede53e442007-09-20T19:37:00+02:002007-09-20T19:37:00+02:00Didier BidauxSociété <p>Un collégien de 15 ans a mortellement blessé d'un coup de couteau sur une place de <a href="http://fd.paysdecaux.com?post/tag/Cl%C3%A9on">Cléon</a>, près d'<a href="http://fd.paysdecaux.com?post/tag/Elbeuf">Elbeuf</a> (<a href="http://fd.paysdecaux.com?post/tag/Seine-Maritime">Seine-Maritime</a>), un jeune de 18 ans avec lequel il avait eu un différend, a-t-on appris jeudi de source policière.</p>
<p>Le drame s'est produit mercredi vers 17h alors que les deux jeunes se disputaient pour une raison qui n'a pas encore été établie. Le collégien a sorti un couteau et porté un coup au thorax du jeune de 18 ans qui s'est effondré, grièvement blessé.</p>
<h5>Décédé en début d'après-midi</h5>
<p>La victime a été aussitôt transportée, dans un état critique, au Centre hospitalier universitaire (CHU) de Rouen, où elle est décédée jeudi en début d'après-midi.</p>
<p>La police a interpellé dans la soirée de mercredi, à son domicile, l'auteur présumé qui a été placé en garde à vue au commissariat d'Elbeuf. Il devrait être présenté vendredi après-midi au substitut chargé des enfants au parquet de <a href="http://fd.paysdecaux.com?post/tag/Rouen">Rouen</a> .</p>http://fd.paysdecaux.com?post/2007/09/20/Un-garcon-de-15-ans-en-tue-un-autre-de-18-ans#comment-formhttp://fd.paysdecaux.com?feed/atom/comments/1596Une fillette de quinze mois noyée dans un bassin d'agrémenturn:md5:d8aeec9467712c6c6e58cf876c5b9b7e2007-08-02T19:13:00+02:002007-08-02T19:13:00+02:00Didier BidauxSociété <h4>Dramatique accident est survenu lundi après-midi à La Feuillie.</h4>
<p>Une <a href="http://fd.paysdecaux.com?post/tag/fillette">fillette</a> de quinze mois s'est noyée lundi dans un bassin d'agrément à <a href="http://fd.paysdecaux.com?post/tag/La%20Feuillie">La Feuillie</a> (<a href="http://fd.paysdecaux.com?post/tag/Seine-Maritime">Seine-Maritime</a>).</p>
<p>Selon les premières constatations des gendarmes, la fillette aurait échappé à la surveillance de ses parents lundi après-midi alors qu'elle jouait dans le jardin.</p>
<p>Son corps sans vie a été retrouvé un peu plus tard dans un bassin d'agrément construit au fond du jardin.</p>
<p>Les pompiers et les médecins du SAMU sont intervenus, mais ils n'ont pas pu réanimer le bébé. A cette âgé là, un enfant peut se noyer dans quelques centimètres d'eau.</p>http://fd.paysdecaux.com?post/2007/08/02/Une-fillette-de-quinze-mois-noyee-dans-un-bassin-dagrement#comment-formhttp://fd.paysdecaux.com?feed/atom/comments/1593Un homme décède lors de sa garde à vue à Rouenurn:md5:7376b589b95fd62e5c20fab31199af622007-07-31T19:10:00+02:002007-08-02T18:16:10+02:00Didier BidauxSociété <h5>Un homme décède lors de sa garde à vue à Rouen</h5>
<p>Un homme de 37 ans qui avait été interpellé dans une affaire de recel de vols est mort lors de sa garde à vue dans les geôles de l'hôtel de police de <a href="http://fd.paysdecaux.com?post/tag/Rouen">Rouen</a> (<a href="http://fd.paysdecaux.com?post/tag/Seine-Maritime">Seine-Maritime</a>), a-t-on appris mardi de source policière.</p>
<p>Le corps sans vie de ce dernier a été découvert au soir du 18 juillet dernier mais l'affaire avait jusqu'à là été tenue secrète par la police.</p>
<p>L'autopsie du corps de cet homme a conclu à une mort naturelle par crise cardiaque après une crise d'épilepsie.</p>
<p>Un enquête est toujours en cours au sein de l'hôtel de police.</p>
<p>La victime avait été placée en <a href="http://fd.paysdecaux.com?post/tag/garde%20%C3%A0%20vue">garde à vue</a> la veille de son décès. Le jour de son arrestation il était dans un état d'ébriété avancé</p>
<p>C'est un policier venu lui signifier la levée de sa garde à vue qui a découvert son corps sans vie AP</p>http://fd.paysdecaux.com?post/2007/08/02/Un-homme-decede-lors-de-sa-garde-a-vue-a-Rouen#comment-formhttp://fd.paysdecaux.com?feed/atom/comments/1592Un quinquagénaire frappe sa femme au visage avec une hachetteurn:md5:5f6edbb15ff4bf34d0cd50e7bb1439e62007-06-25T13:28:00+02:002007-06-25T13:28:00+02:00Didier BidauxSociété <p>Un père de famille de 53 ans soupçonné d'avoir frappé sa femme au visage de plusieurs coups de hachette jeudi soir à <a href="http://fd.paysdecaux.com?post/tag/Lisieux">Lisieux</a> (<a href="http://fd.paysdecaux.com?post/tag/Calvados">Calvados</a>) sera déféré au parquet samedi après-midi, a-t-on appris de source judiciaire.</p>
<p>L'auteur présumé des faits, qui s'est livré à la police quelques heures après son acte, devrait être mis en examen samedi pour "tentative d'homicide avec circonstance aggravante", et écroué, selon la même source.</p>
<p>Jeudi soir, sous les yeux de ses enfants, il aurait, lors d'une violente dispute conjugale, frappé son épouse puis pris une hachette pour lui asséner plusieurs coups au visage.</p>
<p>La femme, dont le visage était, après cette agression, ouvert de l'oreille au menton, a été opérée vendredi après-midi au CHU de <a href="http://fd.paysdecaux.com?post/tag/Caen">Caen</a>. Ses jours ne sont plus en danger. AP</p>http://fd.paysdecaux.com?post/2007/06/25/Un-quinquagenaire-frappe-sa-femme-au-visage-avec-une-hachette#comment-formhttp://fd.paysdecaux.com?feed/atom/comments/15873 personnes écrouées pour avoir torturé et violé un handicapéurn:md5:283393bee19a203a60f0547f4ef501772007-06-19T11:28:00+02:002007-06-19T11:28:00+02:00Didier BidauxSociété <h5>Lisieux: trois personnes écrouées pour avoir torturé et violé un handicapé</h5>
<p>Trois personnes soupçonnées de <a href="http://fd.paysdecaux.com?post/tag/viol">viol</a> avec tortures et actes de barbarie sur un handicapé ont été mises en examen à <a href="http://fd.paysdecaux.com?post/tag/Lisieux">Lisieux</a> (<a href="http://fd.paysdecaux.com?post/tag/Calvados">Calvados</a>) et écrouées vendredi soir, a-t-on appris samedi de source judiciaire.</p>
<p>Les trois auteurs présumés des faits, qui se sont déroulés dans la nuit de mardi à mercredi à Lisieux, sont un couple de marginaux et un homme handicapé mental, tous trois âgés d'une trentaine d'années.</p>
<p>Interpellés mercredi matin suite à plusieurs témoignages, ils ont reconnu les faits au cours de leur garde à vue et ils ont été mis en examen pour "viol avec tortures" et "actes de barbarie sur un homme vulnérable".</p>
<p>Les faits se sont déroulés dans l'appartement du couple que connaissait la victime, un homme handicapé mental âgé d'une trentaine d'année.</p>
<p>L'un des agresseurs présumé, qui est lui-même handicapé mental, avait, en mars 2002, été victime d'actes de torture et de barbarie. AP</p>http://fd.paysdecaux.com?post/2007/06/19/3-personnes-ecrouees-pour-avoir-torture-et-viole-un-handicape#comment-formhttp://fd.paysdecaux.com?feed/atom/comments/1585Un détenu retrouvé mort dans sa cellule le matin de sa libérationurn:md5:e8380c750793b0131c2f076eef2871c62007-06-14T08:42:00+02:002007-06-14T08:42:00+02:00Didier BidauxSociété <p>Un <a href="http://fd.paysdecaux.com?post/tag/d%C3%A9tenu">détenu</a> de la maison d'arrêt de <a href="http://fd.paysdecaux.com?post/tag/Caen">Caen</a> (<a href="http://fd.paysdecaux.com?post/tag/Calvados">Calvados</a>) a été retrouvé mort samedi matin dans sa cellule alors qu'il devait être libéré le jour même, a-t-on appris mardi de source judiciaire.</p>
<p>Le jeune homme de 22 ans, qui occupait seul sa cellule, a été retrouvé mort sur son lit avec une plaquette de cachets anxiolytiques à ses côtés.</p>
<p>Une autopsie du corps de la victime devait être pratiquée hier pour déterminer les causes exactes du décès sachant qu'aucune trace de coup n'a été constatée. AP</p>http://fd.paysdecaux.com?post/2007/06/14/Un-detenu-retrouve-mort-dans-sa-cellule-le-matin-de-sa-liberation#comment-formhttp://fd.paysdecaux.com?feed/atom/comments/1583Cinq artisans mis en examen après avoir enlevé puis séquestré un agent immobilierurn:md5:c61dea2b9782bad1dadfa1e017d427d22007-05-25T09:47:00+02:002007-05-25T09:47:00+02:00Didier BidauxSociété <p>Cinq artisans soupçonnées d'avoir il y a quelques jours enlevé et séquestré un agent immobilier de <a href="http://fd.paysdecaux.com?post/tag/Cherbourg">Cherbourg</a> (<a href="http://fd.paysdecaux.com?post/tag/Manche">Manche</a>) pour lui réclamer l'argent qui leur était dû, ont été mis en examen mercredi soir, a-t-on appris jeudi de source judiciaire.</p>
<p>Les cinq personnes, un couple d'entrepreneurs de <a href="http://fd.paysdecaux.com?post/tag/Benoistville">Benoistville</a> (Manche) et trois sous-traitants ont, à l'issue de leur garde à vue, été placés sous contrôle judiciaire en attendant leur comparution le 10 juillet prochain devant le tribunal correctionnel de Cherbourg.</p>
<p>Ils encourent une peine d'emprisonnement de 10 ans pour "enlèvement, séquestration et extorsion aggravée".</p>
<p>Le 15 mai dernier, ils s'étaient rendus au domicile d'un agent immobilier cherbourgeois pour être payés d'une somme de 20.000 euros, somme correspondant aux travaux commandés par ce dernier et exécutés sur un chantier immobilier.</p>
<p>Mais devant le refus de l'agent qui invoquait la malfaçon, les cinq personnes l'ont emmené de force dans une voiture jusqu'en haut d'une falaise en le menaçant de le jeter dans le vide,</p>
<p>Frappé plusieurs fois, l'homme sera ensuite conduit au domicile du couple où il sera séquestré et menacé toute la nuit.</p>
<p>Ce n'est qu'à son retour le lendemain, et toujours escorté par le quintet, que l'agent immobilier leur signera deux chèques et se rendra aussitôt au commissariat de Cherbourg pour déposer plainte contre ses agresseurs interpellés mardi dernier. AP</p>http://fd.paysdecaux.com?post/2007/05/25/cinq-artisans-mis-en-examen-apres-avoir-enleve-puis-sequestre-un-agent-immobilier#comment-formhttp://fd.paysdecaux.com?feed/atom/comments/1579Trois mineurs s'échappent d'un centre éducatif ferméurn:md5:9f803b69326732c4f6798409e471e0d02007-05-22T09:15:00+02:002007-05-23T09:07:33+02:00Didier BidauxSociété <p>Trois mineurs placés depuis plusieurs semaines au centre éducatif fermé de Sainte-Gauburge (<a href="http://fd.paysdecaux.com?post/tag/Orne">Orne</a>) sont recherchés par les forces de l'ordre après s'être échappés du centre où ils ont tabassé un éducateur, a-t-on appris mardi de source judiciaire.</p>
<p>Dans la nuit de dimanche à lundi, cinq jeunes ont pris à partie l'un des éducateurs du centre et l'ont roué de coups. Ce dernier s'est vu prescrire un arrêt de travail de plusieurs jours.</p>
<p>Les adolescents, âgés de 13 à 16 ans, ont ensuite volé deux voitures de service pour s'enfuir. Deux d'entre eux ont été interpellés dans l'<a href="http://fd.paysdecaux.com?post/tag/Eure">Eure</a> après avoir eu un accident de la circulation. Ils sont depuis lundi en garde à vue. Les trois autres sont toujours en fuite.</p>
<p>Depuis son ouverture en octobre dernier, le centre éducatif fermé de <a href="http://fd.paysdecaux.com?post/tag/Sainte-Gauburge">Sainte-Gauburge</a> n'avait pas encore connu d'incidents aussi graves, même si une vingtaine de fugues avaient été signalées en début d'année.</p>
<p>Les centres éducatifs fermés (CEF) ouverts depuis l'été 2002 étaient l'une des mesures phares de la loi de programmation et d'orientation du garde des Sceaux de l'époque, Dominique Perben. Les mineurs y sont placés soit sous contrôle judiciaire en attente de leur comparution, soit après une condamnation avec sursis et une mise à l'épreuve. Il est interdit de s'enfuir, sous peine de se voir conduire directement en prison. AP</p>http://fd.paysdecaux.com?post/2007/05/22/Trois-mineurs-sechappent-dun-centre-educatif-ferme#comment-formhttp://fd.paysdecaux.com?feed/atom/comments/1574Un projet de rapt de fillette par des pédophiles présumés déjoué en Franceurn:md5:66de401e52db4924644b2cc1dd5920c02007-05-16T12:00:00+02:002007-05-23T09:07:33+02:00Didier BidauxSociété<p>Trois hommes soupçonnés d'avoir préparé sur Internet l'enlèvement, la séquestration et le viol d'une fillette, qui aurait dû avoir lieu en juin prochain dans la région rouennaise, ont été interpellés aux cours des deux dernières semaines à <a href="http://fd.paysdecaux.com?post/tag/Rouen">Rouen</a>, Nice et Orléans. Ils ont été mis en examen et écroués, a-t-on appris mercredi de sources policières et judiciaires.</p>
<p>Une cache aménagée, du matériel sado-masochiste et une paire de menottes ont été retrouvés par les enquêteurs dans une cache de la banlieue de Rouen. L'un des suspects a en outre été mis en examen pour des viols et des agressions sexuelles sur deux mineures dans la région niçoise.</p>
<p>Selon le procureur de la République de Rouen Joseph Schmit, l'affaire a été découverte en mars dernier par un internaute belge qui, en surfant sur le même forum, s'est rendu compte que certains internautes envisageaient l'enlèvement d'une fillette âgée de cinq à neuf ans. L'internaute a signalé ce projet d'enlèvement à l'association "Child Focus" et à la police judiciaire belge. Un enquêteur belge a été infiltré pour cerner la personnalité des suspects et déterminer leur lieu de résidence.</p>
<p>"Ce que les enquêteurs ont rencontré pendant ce mois d'enquête, c'est quasiment inhumain. Et, ils ont dû faire preuve d'un professionnalisme que l'on arrive même pas à exprimer", a expliqué Hilde Vandevoorde, porte-parole du parquet fédéral de Bruxelles (Belgique) lors d'un point presse.</p> <p>Trois Français s'étaient mis d'accord, au fil des discussions sur le Net, pour préparer ce rapt qui aurait dû survenir en juin. Leur projet était d'enlever une fillette, la séquestrer dans un local pendant tout un week-end, la violer, lui faire subir des sévices et des tortures et enfin de la relâcher après l'avoir marqué au fer rouge avec un "S" comme soumise, a précisé M. Schmit.</p>
<p>Eric Voulleminot, le directeur de la police judiciaire de Rouen, a précisé que "la difficulté dans cette affaire consistait à mettre d'une part en évidence manifestement la réalité de ce projet, le fait qu'ils le préparaient, et qu'ils s'apprêtaient à le mener à terme, sans pour autant exposer une victime à leurs caractères extrêmement dangereux".</p>
<p>Alerté, l'Office central de répression des violences aux personnes (OCRVP), assisté des PJ niçoise et rouennaise, a mené l'enquête et ciblé les trois hommes. Le cerveau présumé, explique-t-on de source policière, est un employé de France Telecom de 49 ans, père de famille et établi à Rouen. Il disposait d'un local isolé dans la banlieue de cette ville, équipé de matériel sado-masochiste.</p>
<p>"C'est lui qui a été l'instigateur. C'est lui qui a proposé le lieu, qui fournissait les objets qui étaient destinés à concrétiser, si je puis dire, les actes de barbaries qui étaient prévus sur l'enfant", a déclaré Joseph Schmit lors d'un point presse. "C'est quelqu'un qui est totalement inconnu et qui n'a jamais fait parler de lui. C'était jusqu'à maintenant, le parfait honnête homme comme tout le monde".</p>
<p>Le cerveau présumé a été arrêté le 11 mai par les hommes du SRPJ de Rouen alors qu'il faisait visiter au policier belge infiltré le local dans lequel il comptait séquestrer la fillette.</p>
<p>Son premier complice présumé, un peintre niçois de 41 ans, également père de famille, devait l'aider dans cette entreprise criminelle en fournissant notamment une camionnette. Les écoutes ont révélé que l'homme comptait agresser sexuellement des fillettes dans son entourage. Les enquêteurs l'ont donc interpellé en urgence il y a une dizaine de jours. Sa garde à vue a permis de révéler deux viols et agressions sexuelles commis depuis deux ans sur des fillettes de 9 et 12 ans de son entourage qui n'ont pas osé le dénoncer.</p>
<p>Arrivé un peu plus tard, le troisième complice est un militaire de 30 ans, basé à Orléans. Lors de leurs échanges, les trois hommes ont indiqué comment ils comptaient se travestir pour éviter d'être reconnus.</p>
<p>Après avoir envisagé un rapt en Belgique, ils avaient opté pour une opération menée vers midi autour d'une école située dans un rayon de 100km autour de leur cache. Ils devaient faire monter de force une fillette isolée dans le véhicule avant de l'attacher et de l'emmener avec eux. Le dernier suspect a été interpellé le 12 mai.</p>
<p>Les trois hommes ont été mis en examen et écroués pour "participation à une association de malfaiteurs en vue de la préparation d'enlèvement et de séquestration, commis en bande organisée et captation en vue de diffusion, détention et diffusion d'images de mineurs à caractère pornographique".</p>
<p>Ils n'ont pas nié les faits lors de leur garde à vue, mais affirmé que ce projet n'était qu'un fantasme pas destiné à aller jusqu'au bout. Le procureur de la République de Rouen a parlé "d'actes insupportables" et de "drame absolu", qualifiant de "pire que l'horreur" leur projet. AP</p>http://fd.paysdecaux.com?post/2007/05/16/Un-projet-de-rapt-de-fillette-par-des-pedophiles-presumes-dejoue-en-France#comment-formhttp://fd.paysdecaux.com?feed/atom/comments/1572Il tue sa femme à coups de rouleau à pâtisserieurn:md5:a155ff11c3f4d990b4e4967db1743d442007-04-27T00:00:00+02:002007-05-23T09:07:33+02:00Didier BidauxSociété <p>Un homme de 83 ans, soupçonné d'avoir tué sa femme à coups de rouleau à pâtisserie mercredi à <a href="http://fd.paysdecaux.com?post/tag/F%C3%A9camp">Fécamp</a> (<a href="http://fd.paysdecaux.com?post/tag/Seine-Maritime">Seine-Maritime</a>) est en <a href="http://fd.paysdecaux.com?post/tag/garde%20%C3%A0%20vue">garde à vue</a> au commissariat de police de la ville, a-t-on appris jeudi de source policière.</p>
<p>C'est l'octogénaire qui a prévenu la police après avoir frappé son épouse de plusieurs coups à la tête. Celle-ci, âgée de 77 ans était décédée à l'arrivée des secours.</p>
<p>Une autopsie de son corps sera pratiquée jeudi matin à l'institut médico-légal du Havre et devrait établir le nombre de coups portés ainsi que la cause exacte du décès. AP</p>http://fd.paysdecaux.com?post/2007/04/27/Il-tue-sa-femme-a-coups-de-rouleau-a-patisserie#comment-formhttp://fd.paysdecaux.com?feed/atom/comments/1570180 tombes profanées au Havreurn:md5:6ae10eb4a7228735cdb7eeb62b06f10f2007-04-23T12:44:00+02:002007-05-23T09:07:33+02:00Didier BidauxSociété <h5>Près de 180 tombes profanées au Havre, cinq jeunes interpellés sur les lieux</h5>
<p>Environ 180 tombes, dont un quart de sépultures de personnes de confession juive, ont été endommagées dans la nuit de samedi à dimanche dans l'un des principaux cimetières du Havre, un acte qui s'ajoute à deux récentes <a href="http://fd.paysdecaux.com?post/tag/profanations">profanations</a> dans des cimetières du nord de la France.
Cinq jeunes, dont deux mineurs, ont été interpellés sur les lieux dans la nuit et étaient toujours en garde à vue dimanche soir dans les locaux de la police du Havre.</p>
<p>Les tombes ont été "très fortement dégradées" dans le cimetière Sainte-Marie, a déclaré le procureur général près la cour d'appel de Rouen.</p>
<p>Selon le président du consistoire juif du Havre, Victor Elgressy, les auteurs se sont d'abord attaqués à une quarantaine de tombes du carré juif en dessinant à la peinture noire des croix gammées et des croix celtiques avant de dégrader d'autres sépultures, chrétiennes.</p>
<p>Des croix, des stèles et des pierres tombales, qui semblent avoir été choisies au hasard dans le vaste cimetière, ont été renversées ou fracassées. Dans le carré juif, les inscriptions ont été nettoyées dimanche et n'étaient plus visibles en début de soirée.</p>
<p>C'est un passant qui a alerté la police après s'être rendu compte qu'il se passait des choses anormales dans le cimetière, a-t-on appris de source proche de l'enquête. Les policiers sont alors intervenus et ont interpellé les cinq jeunes sur les lieux.</p>
<p>"Quels que soient les motifs idéologiques invoqués par les auteurs, ces actes sont intolérables et inqualifiables", a déclaré à l'AFP M. Elgressy, qui s'est rendu sur place dimanche après-midi avec le maire UMP du Havre Antoine Rufenacht. "Ces actes sembleraient avoir une connotation raciste mais ne se sont pas résumés à cela", a déclaré M. Rufenacht, en réclamant "des sanctions aussi sèvères que possible pour leurs auteurs".</p>
<p>Jacques Chirac a "condamné avec une extrême fermeté" cette profanation et dénoncé "une insulte à la mémoire de nos morts et une blessure pour tous les Français".</p>
<p>Pour le président de la République, "les auteurs, qui ont été pris sur le fait, devront être punis avec toute la rigueur de la loi".</p>
<p>"Il appartiendra à la justice de sanctionner sévèrement ces comportements inacceptables", a ajouté François Baroin, le ministre de l'Intérieur.</p>
<p>Une information judiciaire sera ouverte "dès que les éléments de l'enquête auront été réunis", a annoncé le procureur général près la cour d'appel de Rouen.</p>
<p>Selon lui, les jeunes interpellés pourraient être poursuivis pour les chefs suivants: "destruction ou dégradation grave du bien d'autrui commise en réunion, violation ou profanation de sépulture, violation ou profanation de sépulture commise en raison de l'appartenance ou de la non-appartenance, vraie ou supposée, des personnes décédées à une ethnie, une nation, une race, ou une religion déterminée".</p>
<p>Cette profanation survient après celle, jeudi, de 52 tombes musulmanes du cimetière militaire Notre-Dame-de Lorette, près d'Arras, pour laquelle trois jeunes gens ont été interpellés.</p>
<p>Dans la nuit du 31 mars au 1er avril, 51 tombes avaient été dégradées dans le carré juif du cimetière de Lille-Sud, un acte pour lequel un homme de 32 ans a été mis en examen et écroué. (AFP)</p>http://fd.paysdecaux.com?post/2007/04/23/180-tombes-profanees-au-Havre#comment-formhttp://fd.paysdecaux.com?feed/atom/comments/1569Un handicapé à la recherche d'un logement adapté depuis six ansurn:md5:7d4f769a52653d3047cba5c4967b4e032007-04-10T18:47:00+02:002007-05-23T09:07:33+02:00Didier BidauxSociété<p>Un habitant de <a href="http://fd.paysdecaux.com?post/tag/Dieppe">Dieppe</a> (<a href="http://fd.paysdecaux.com?post/tag/Seine-Maritime">Seine-Maritime</a>), qui est cloué dans un fauteuil roulant depuis six ans et qui loue un appartement au septième étage d'un immeuble, demande à son bailleur un logement adapté depuis plus de six ans.</p>
<p>Thierry Stuki vit un vrai calvaire depuis qu'un accident en octobre 2000 le contraint à vivre en fauteuil roulant. Pour ce père de famille, la situation est d'autant plus intolérable que son bailleur n'a rien à lui proposer. "On me dit toujours qu'il n'y a rien de disponible, qu'il faut patienter. J'en ai marre, cela fait six ans que cela dure", a-t-il expliqué lundi à l'Associated Press.</p> <p>Dans l'appartement qu'il loue depuis plus sept ans dans le quartier du Val-Druel, rien n'est adapté pour une personne à mobilité réduite. "Mon fauteuil ne peut pas passer la porte des toilettes, ni de la salle de bains. Alors c'est mon épouse qui me soulève et qui m'aide. Ce n'est pas une vie pour moi, ni pour elle".</p>
<p>Contacté par l'Associated Press, Habitat-76, le bailleur social de cet immeuble, n'a pas souhaité s'exprimer sur ce sujet. Son représentant a juste confirmé "que le dossier était en cours".</p>
<p>La situation devient de plus en plus préoccupante pour Thierry Stuki qui est souvent contraint à rester cloîtré chez lui car "l'unique ascenseur de cet immeuble tombe régulièrement en panne". "Une autre fois, j'étais sorti, en rentrant chez moi il était en panne. J'ai dû monter les marches sur les fesses à la force de mes bras. J'ai mis plusieurs jours à m'en remettre".</p>
<p>"Je veux simplement trouver un appartement au rez-de-chaussée ou un pavillon de plain-pied. Nous sommes en 2007, cela ne doit pas être compliqué de trouver cela!", s'insurge-t-il. AP</p>http://fd.paysdecaux.com?post/2007/04/10/Un-handicape-a-la-recherche-dun-logement-adapte-depuis-six-ans#comment-formhttp://fd.paysdecaux.com?feed/atom/comments/1567Le détenu meurtrier était bien un cannibaleurn:md5:4572d881ae9cc76eba0466a644ec485b2007-03-23T22:24:00+01:002007-05-23T09:07:33+02:00Didier BidauxSociété <h5>Détenu cannibale: le sang retrouvé dans la gamelle du détenu est celui de sa victime</h5>
<p>Le sang retrouvé dans la gamelle du détenu soupçonné d'acte de <a href="http://fd.paysdecaux.com?post/tag/cannibalisme">cannibalisme</a> sur un codétenu début janvier à la prison de <a href="http://fd.paysdecaux.com?post/tag/Rouen">Rouen</a> (<a href="http://fd.paysdecaux.com?post/tag/Seine-Maritime">Seine-Maritime</a>) est bien celui de sa victime, a-t-on appris vendredi auprès de son avocat, Me Fabien Picchiotino. (Voir le billet <a href="http://fd.paysdecaux.com?post/2007/03/23/post/2007/01/03/Meurtre-a-la-prison-de-Rouen">Meurtre à la prison de Rouen</a>)</p>
<p>Les analyses ADN réalisées par l'Institut génétique de Nantes-Atlantique (IGNA), ont révélé qu'il s'agissait du sang de Thierry Baudry, 31 ans, mort dans la nuit du 2 au 3 janvier dernier.</p>
<p>Dans cette affaire, Nicolas Cocaign, 35 ans, a été mis en examen le 5 janvier dernier pour "homicide volontaire avec préméditation" et "atteinte à l'intégrité d'un cadavre". Il est depuis écroué à la prison de Bois d'Arcy (Yvelines) où il purge une peine de 45 jours de cellule disciplinaire après avoir été interné plusieurs jours à l'unité pour malades difficiles de l'hôpital Paul-Guiraud de Villejuif (Val-de-Marne).</p>
<p>Dans la nuit du 2 au 3 janvier dernier dans la cellule 26 de la prison <a href="http://fd.paysdecaux.com?post/tag/Bonne-Nouvelle">Bonne-Nouvelle</a> de Rouen, Nicolas Cocaign est soupçonné d'avoir tué Thierry Baudry, 31 ans, l'un de ses deux codétenus et d'avoir mangé un morceau de son poumon ainsi qu'un morceau de son muscle pectoral.</p>
<p>C'est un surveillant qui à l'ouverture de la porte de la cellule le lendemain matin avait découvert le corps de Thierry Baudry avec une plaie importante au thorax. Dans cette affaire, le troisième codétenu, David Lagrue, 34 ans, a été mis en examen pour "complicité d'assassinat" et sera considéré comme témoin assisté pour "atteinte à l'intégrité d'un cadavre". AP</p>http://fd.paysdecaux.com?post/2007/03/23/Le-detenu-meurtrier-etait-bien-un-cannibale#comment-formhttp://fd.paysdecaux.com?feed/atom/comments/1562Un jeune homme soupçonné d'avoir poignardé son ex-petite amie écrouéurn:md5:f904ccc43fa2ce0e02c771bf45df955f2007-03-19T12:03:00+01:002007-05-23T09:07:33+02:00Didier BidauxSociété <p>Un jeune homme de 21 ans, soupçonné d'avoir poignardé son ex-petite amie âgée de 15 ans mercredi soir à <a href="http://fd.paysdecaux.com?post/tag/Dieppe">Dieppe</a> (<a href="http://fd.paysdecaux.com?post/tag/Seine-Maritime">Seine-Maritime</a>), a été mis examen pour "<a href="http://fd.paysdecaux.com?post/tag/tentative%20dassassinat">tentative d'assassinat</a>" et écroué vendredi, a-t-on appris samedi de source judiciaire.</p>
<p>La jeune fille, touchée au poumon, est dans un état préoccupant au <a href="http://fd.paysdecaux.com?post/tag/CHU">CHU</a> de <a href="http://fd.paysdecaux.com?post/tag/Rouen">Rouen</a> (Seine-maritime), mais son pronostic vital n'est pas engagé, précisait-on de même source.</p>
<p>C'est parce que l'adolescente, élève en seconde au lycée Jehan-Ango de Dieppe, venait de mettre un terme à leur relation que le jeune homme l'a poignardée de plusieurs coups de couteau mercredi soir devant le domicile de ses parents. AP</p>http://fd.paysdecaux.com?post/2007/03/19/Un-jeune-homme-soupconne-davoir-poignarde-son-ex-petite-amie-ecroue#comment-formhttp://fd.paysdecaux.com?feed/atom/comments/1559Des commissaires-priseurs soupçonnés de malversationsurn:md5:f0d07d81784da721616ba8898d37e1ec2007-02-27T12:13:00+01:002009-10-21T09:05:07+02:00Didier BidauxSociété <h5>La justice enquête en Normandie sur l'origine des objets vendus par Caen Enchères.</h5>
<p>Deux commissaires-priseurs caennais, Lô Dumont, 67 ans, et Jean Rivola, 39 ans, (Ils ont depuis été relaxés <sup>[<a href="http://fd.paysdecaux.com?post/2007/02/27/Des-commissaires-priseurs-soupconnes-de-malversations#pnote-120-1" id="rev-pnote-120-1">1</a>]</sup>) mis en examen avec caution de 20 000 euros pour blanchiment, faux, et non-tenue régulière du registre de police : il y a là de quoi mettre en émoi les habitués des salles des ventes de Normandie.</p>
<p>L'affaire a débuté voilà plus d'un an avec un signalement de Tracfin, la cellule de renseignement française sur les circuits financiers clandestins. Cet organisme s'étonne alors des flux sur les nombreux comptes bancaires de six membres de la communauté des gens du voyage sédentarisés dans des villages près de Caen. Les mouvements sont sans commune mesure avec les revenus officiels des intéressés, âgés de 36 à 52 ans, et RMistes pour certains.</p>
<p>En lien avec le Groupe d'intervention régional (GIR) de Basse-Normandie, et plus particulièrement avec l'inspecteur des impôts détaché au sein du GIR, les gendarmes de la section de recherches de Caen entament une longue période de filatures. Il apparaît que les suspects achètent chez des particuliers de la côte de nombreux objets qui sont ensuite revendus dans la salle des ventes Caen Enchères.</p>
<p>Les ventes se chiffreraient par milliers, d'où la mise en examen des vendeurs pour blanchiment et travail dissimulé. Mesures qui ont entraîné la saisie de six véhicules, dont trois fourgons servant au transport des marchandises. Le procureur de la République de Caen fait par ailleurs état d'« infractions techniques » : dépôt d'objets sans mention d'origine de la pièce, défaut d'attestation d'identité auprès de la salle de ventes.</p>
<h5>Scénario inspiré par la CIA</h5>
<p>La plupart des objets relèvent de la chine et ne dépareraient pas des vide-greniers de chef-lieu de canton. Mais, selon une source proche du dossier, auraient aussi été vendues des armes anciennes, dont un sabre, des photos encadrées où le cadre présente le plus de valeur. Pièce rare : une statue d'après Carpeaux mise en vente par la compagne de l'un des suspects.</p>
<p>Selon un scénario plus inspiré par la CIA que par Christie's, la salle des ventes a été placée sous surveillance vidéo. Non seulement les gens du voyage auraient vendu, mais ils auraient également participé aux enchères en les « poussant » énergiquement.</p>
<p>Faut-il y voir la raison de la mise en examen des commissaires-priseurs pour « entrave au bon fonctionnement des enchères » ? « Cette affaire va faire pschitt », assure Me Bernard Blanchard, conseil des commissaires-priseurs. « Les qualifications pénales paraissent effroyables, mais les faits ne semblent absolument pas en proportion. »</p>
<p>Le parquet général de la cour d'appel de Caen a transmis un rapport au conseil des ventes de France, autorité de régulation de la profession. « J'attends les suites de l'enquête », indique Serge Armand, magistrat délégué comme commissaire du gouvernement auprès du conseil des ventes. « Si les faits sont graves, des poursuites disciplinaires seront engagées. »</p>
<p>(<a href="http://www.lefigaro.fr/france/20070227.FIG000000010_des_commissaires_priseurs_soupconnes_de_malversations.html">Le Figaro</a>)</p>
<p>ADDENDA :<br /></p>
<blockquote><p>Lô Dumont et Jean Rivola, deux commissaires priseurs caennais ont été relaxés par la cour d'appel vendredi 3 juillet. Le 20 octobre dernier, ils avaient écopé de lourdes condamnations pour blanchiment aggravé. Il s'agissait de vente d'objets provenant d'un travail dissimulé. Des meubles vendus par des gens du voyage, se présentant comme brocanteurs, dans l'établissement de Caen-Enchères. Finalement, la justice a reconnu de graves négligences, sans désir de couvrir un quelconque trafic de meubles.</p>
<p>
Sur la question des enchères relancées par les mêmes faux-brocanteurs, seul Lô Dumont a été condamné dans la mesure où il dirigeait les ventes et a laissé faire cette pratique.</p>
<p>
Lô Dumont et Jean Rivola écopent respectivement d'une amende de 18 000 € et 15 000 €. Motif final : ne pas avoir tenu régulièrement de registres de mobilier d'occasion. Il ne leur sera pas interdit d'exercer leur profession de commissaires priseurs pendant trois ans, comme prononcé en première instance.</p></blockquote>
<p>(Source : <a href="http://www.lamanchelibre.fr/Des-commissaires-priseurs-relaxes,1.media?f=2394">La Manche Libre</a>)</p>
<div class="footnotes"><h4>Notes</h4>
<p>[<a href="http://fd.paysdecaux.com?post/2007/02/27/Des-commissaires-priseurs-soupconnes-de-malversations#rev-pnote-120-1" id="pnote-120-1">1</a>] Voir Addenda</p></div>
http://fd.paysdecaux.com?post/2007/02/27/Des-commissaires-priseurs-soupconnes-de-malversations#comment-formhttp://fd.paysdecaux.com?feed/atom/comments/1553Il y a bien eu cannibalisme à la prison de Rouenurn:md5:47ac778f260f7da44ec733d152389a062007-01-05T13:46:00+01:002007-01-05T13:48:05+01:00Didier BidauxSociété<h5>La piste du cannibalisme pénitencier est loin d'être abandonnée puisque le procureur la juge "très probable".</h5>
<p>Les autoaccusations de cannibalisme du détenu meurtrier d'un autre détenu à la maison d'arrêt de <a href="http://fd.paysdecaux.com?post/tag/Rouen">Rouen</a> sont finalement "très probables" après l'achèvement de l'autopsie du corps qui a montré l'absence de certains organes, a affirmé vendredi le procureur de la République de Rouen.<br /><br />
La victime, âgée de 31 ans, avait été retrouvée mercredi matin par les surveillants avec une plaie importante au thorax dans la cellule qu'elle partageait avec deux autres détenus.</p>
<p>« <em>L'absence (d') éléments anatomiques qui n'ont pas été retrouvés sur la scène du crime rend très probables les autoaccusations de cannibalisme de l'auteur présumé du crime</em> », écrit dans un communiqué le magistrat, Joseph Schmit, qui avait affirmé l'inverse jeudi après-midi, à savoir que ces autoaccusations étaient "inexactes".</p> <p>"C'est en fin de soirée, qu'il m'était indiqué que deux morceaux de muscle avaient été retirés dans un espace intercostal et qu'il manquait la moitié supérieure du lobe gauche du poumon de la victime", précise le procureur dans son communiqué vendredi.</p>
<p>Jeudi après-midi, le procureur avait rejeté l'hypothèse du <a href="http://fd.paysdecaux.com?post/tag/cannibalisme">cannibalisme</a> en précisant que "l'autoposie était toujours en cours". Cette hypothèse était alors fondée sur les déclarations du détenu qui avait affirmé avoir mangé le coeur de la victime.</p>
<p>Le procureur avait précisé que le coeur avait été retrouvé "à sa place habituelle, intact et dans son enveloppe, également intacte".</p>
<p>L'Administration pénitentiaire (AP) a indiqué vendredi que les trois détenus avaient demandé eux-mêmes il y a quelques jours à partager la même cellule.</p>
<p>Les détenus avaient fait cette demande par écrit le 28 décembre, a-t-on précisé de même source.</p>
<p>L'homme qui revendique le meurtre et les actes de cannibalisme finissait de purger une peine de cinq ans pour vol avec violence, et attendait notamment son jugement dans une affaire de crime sexuel, a-t-on appris par ailleurs de source proche du dossier.</p>
<p>"Rien dans son histoire ne laissait à priori penser qu'il pourrait se livrer à de tels actes", a-t-on simplement assuré à l'AP, alors que le détenu n'était ni condamné ni mis en examen pour homicide.</p>
<p>L'AP a néanmoins ouvert dès jeudi une enquête administrative pour "vérifier que toutes les procédures ont bien été respectées" par les gardiens.</p>
<p>L'Administration pénitentiaire réfute par ailleurs les accusations de surpopulation de la maison d'arrêt de Rouen, proférées par l'Observatoire international des prisons (OIP), organisme de défense des détenus.</p>
<p>Au 1er janvier, selon les derniers chiffres de l'AP, cet établissement hébergeait 682 détenus pour 675 places, soit un taux d'occupation de 101%, globalement considéré comme acceptable par rapport à d'autres prisons qui affichent des taux bien supérieurs.</p>
<p>L'Administration pénitentiaire ne recense qu'un autre cas de cannibalisme, en 2004, dans la maison centrale de Saint-Maur (Indre), où un homme avait fracassé le crâne d'un co-détenu avec un cendrier puis mangé un bout de sa cervelle.</p>http://fd.paysdecaux.com?post/2007/01/05/Il-y-a-bien-eu-cannibalisme-a-la-prison-de-Rouen#comment-formhttp://fd.paysdecaux.com?feed/atom/comments/1527Il lui arrache le cœur pour le mangerurn:md5:27438be5bd73015c37a42752e6529be42007-01-04T10:47:00+01:002007-01-04T12:30:51+01:00Didier BidauxSociété <p>« <em>Parce qu'elle ne respectait pas les codes internes dans la cellule, parce qu'elle refusait de se soumettre, la victime a été frappée à plusieurs reprises, avant de tomber K-O et d'être, selon toute vraisemblance, étouffée avec des sacs poubelles.</em><br /><br />
<em>Une autopsie sera pratiquée demain après-midi à l'institut médico-légal pour préciser exactement les circonstances de ce décès</em> », a déclaré hier le procureur de la République de <a href="http://fd.paysdecaux.com?post/tag/Rouen">Rouen</a>.</p>
<p>C'est un surveillant de prison qui, à l'occasion de sa ronde, a fait l'horrible découverte peu avant 7 h. Le détenu était allongé sur son lit, recouvert d'un drap.</p>
<p>Le détenu assassiné à Rouen, dont je vous <a href="http://fd.paysdecaux.com?post/2007/01/04/parlais hier" title="parlais hier">parlais hier</a>, Thierry <a href="http://fd.paysdecaux.com?post/tag/Baudry">Baudry</a> est mort étouffé avec un sac plastique.<br /><br />
Son compagnon de cellulle, Nicolas Cocaigne, aurait alors éventré son coprisonnier, à l'aide d'un objet tranchant, et lui aurait extrait le cœur pour le manger.</p>
<p>« <em>Mais, en effet, le détenu Cocaigne aurait cuit le cœur avec un réchaud à gaz et l'aurait avalé, assaisonné d'oignons.</em> »</p>
<p>Le meurtrier présumé, placé en garde à vue immédiatement à l'Hôtel de police de Rouen a avoué les faits rapidement.<br /><br />
Le troisième détenu qui n'a pas alerté les surveillants a, lui aussi, été placé en <a href="http://fd.paysdecaux.com?post/tag/garde%20%C3%A0%20vue">garde à vue</a>.</p>http://fd.paysdecaux.com?post/2007/01/04/Il-lui-arrache-le-coeur-pour-le-manger#comment-formhttp://fd.paysdecaux.com?feed/atom/comments/1523Meurtre à la prison de Rouenurn:md5:6579243dfe26ea184b3b4feaab2c95392007-01-03T19:34:00+01:002007-01-03T19:36:33+01:00Didier BidauxSociété <p>Un <a href="http://fd.paysdecaux.com?post/tag/d%C3%A9tenu">détenu</a> de la <a href="http://fd.paysdecaux.com?post/tag/prison">prison</a> Bonne-Nouvelle de <a href="http://fd.paysdecaux.com?post/tag/Rouen">Rouen</a> (Seine-Maritime), soupçonné d'avoir tué au cours de la nuit un autre détenu qui partageait sa cellule, a été placé en garde à vue mercredi à l'hôtel de police de la ville.</p>
<p>Le détenu tué, âgé de 31 ans, a été découvert mercredi matin lors d'une ronde des surveillants, précise-t-on de source policière. Il était en détention provisoire dans l'attente de son procès pour délit et crime sexuel.</p>
<p>Selon les premiers éléments de l'enquête, son agresseur présumé âgé de 35 ans et lui aussi en détention provisoire pour des faits similaires, l'a apparemment frappé violemment au thorax avant de l'asphyxier en lui mettant la tête dans un sac plastique. Il a déclaré selon les enquêteurs avoir eu "un différend avec la victime au cours de la nuit".</p>
<p>Un autre détenu, présent dans la cellule au moment des faits, a également été placé en garde à vue. Il est reproché à ce dernier, également détenu pour "une grave affaire de moeurs", et qui est sous traitement neuroleptique, de ne pas avoir alerté les surveillants. Une autopsie de la victime a été ordonnée par le Parquet de Rouen. Elle aura lieu jeudi à 15 heures au centre médico-légal de Rouen. L'enquête a été confiée à la brigade criminelle de la sûreté départementale. AP</p>http://fd.paysdecaux.com?post/2007/01/03/Meurtre-a-la-prison-de-Rouen#comment-formhttp://fd.paysdecaux.com?feed/atom/comments/1522